Le problème d’un jeune député comme Arthur Delaporte est qu’il ne se rend même pas compte que le Parti Socialiste est déjà en responsabilité gouvernementale.

Il est excusable : du 9/6 au 7/7, le paysage politique s’est soudain transformé.

Selon Arthur Delaporte, député socialiste de Livarot (Calvados), le président doit nommer Lucie Castets à Matignon, d’un double point de vue institutionnel et logique.

https://www.bfmtv.com/politique/lucie-castets-a-matignon-selon-le-socialiste-arthur-delaporte-le-chef-de-l-etat-n-a-pas-d-autre-choix_AV-202408110238.html

Il est irresponsable, veut-il rendre le pays ingouvernable ?

Seuls Olivier Faure et Jean-Marc Germain sont habilités à exprimer la position du Parti Socialiste, en lien avec le NFP.

Le seul nom crédible et préparé, à ce jour, est celui de Xavier Bertrand, président Ensemble-NFP de la région Hauts-de-France.

On aura compris que le silence d’Olivier Faure et Jean-Marc Germain vaut soutien par la gauche de la nomination raisonnable de Xavier Bertrand à Matignon.

https://www.lefigaro.fr/marseille/il-a-une-vision-pour-le-pays-a-marseille-catherine-pila-soutient-l-hypothese-xavier-bertrand-a-matignon-20240809

Le PS a tant d’atouts et détient des informations stratégiques exclusives en si grand nombre qu’il n’a pas besoin de gérer Matignon.

Olivier Faure, Jean-Marc Germain, Guillaume Garot, Dominique Potier…

Nous soutiendrons Xavier Bertrand, l’intérêt supérieur du pays et de son environnement international.

Regrettons que Guillaume Garot soit seul à parler clair au 7/8, au PS et à gauche.

Nous avons un problème préoccupant de culture morale et politique en France, il va falloir être beaucoup plus sérieux, la technique ne peut pas tout faire.

Un mois après le 7/7, la presse constate que le temps est compté pour le président.

https://www.lesechos.fr/politique-societe/emmanuel-macron-president/le-temps-est-maintenant-compte-pour-emmanuel-macron-2112764

Le temps est surtout compté pour la coalition Ensemble/NFP autour de Xavier Bertrand, Frédéric Valletoux, Olivier Faure, Jean-Marc Germain et Guillaume Garot.

Le député de Laval (Mayenne) est le seul à parler clair à gauche, en continu.

Les postures sans programme, cela va bien un moment.

Pas de lâcheté.

Va pour Xavier Bertrand : la droite est à 72%, même si elle est très loin de détenir toutes les clés.

Lucie Castets laisse entendre que l’alliance tripartite PS, PC/LFI, Ensemble/Verts du 7/7 était une aberration démocratique.

https://www.bfmtv.com/politique/xavier-bertrand-bientot-a-matignon-lucie-castets-pointe-une-aberration-democratique_AD-202408070037.html

Nos concitoyennes et concitoyens sont trop forts, quand il s’agit d’arriver après la bataille.

Le seul candidat préparé à Matignon est Xavier Bertrand : c’est le message implicite, lucide d’Olivier Faure, de Jean-Marc Germain et de l’union de la gauche.

Sans compter qu’elle est beaucoup trop jeune et inexpérimentée pour le poste, comme Gabriel Attal d’ailleurs.

Lucie Castets n’est pas une professionnelle de la politique, elle n’est d’aucun parti, elle n’ira pas à Matignon.

Certes le NFP est incontournable dans le gouvernement de coalition, mais il demeure que Ensemble(/LR) a davantage de députés, de parlementaires et la France est à droite à 72% : rien ne sert de dire n’importe quoi.

https://www.lefigaro.fr/politique/la-nomination-de-xavier-bertrand-a-matignon-serait-une-aberration-fustige-lucie-castets-20240807

La coalition Ensemble-NFP résultant des désistements du 7/7/24 n’a pas d’autre option soutenable, à l’évidence, qu’un travail transpartisan, explique Guillaume Garot, député socialiste de Laval (Mayenne) :

“La tâche semble insurmontable dans une Assemblée plus clivée que jamais. C’est aussi ce que beaucoup disaient déjà en juin 2022. Mais nous sommes aussi quelques-uns – et sur tous les bancs des forces républicaines – à avoir fait le choix de dépasser les clivages politiques pour faire vraiment avancer les choses, sur les sujets qui touchent au cœur du quotidien des Français. Ainsi est née, dans la précédente législature, l’idée du “transpartisan”. Nous avions lancé en ce sens, il y a maintenant deux ans, avec une quarantaine de députés issus de neuf groupes parlementaires allant de LFI à LR, un « groupe de travail transpartisan » contre les déserts médicaux. C’est un fait : les désaccords étaient nombreux entre nous, y compris en matière de santé. Mais nous sommes suffisamment habités par l’intérêt général pour nous rejoindre sur l’essentiel : la conviction que seules des mesures puissantes et inédites pourront améliorer l’accès aux soins dans tous les territoires, à commencer par la régulation de l’installation des médecins et de l’exercice médical. Nous nous sommes attelés à la tâche, semaine après semaine, et avons réussi à déposer une proposition de loi commune et de nombreux amendements – recueillant jusqu’à 250 signatures de parlementaires de tous les bords républicains – et dont certains ont fini par faire bouger les lignes d’un gouvernement défavorable en première intention. Après notre « Tour de France transpartisan des déserts médicaux » et de nouvelles auditions à l’Assemblée nationale, nous avions même finalisé la rédaction d’une nouvelle proposition de loi, que la dissolution nous a empêchés de déposer.

Ce travail transpartisan devra être repris dans cette nouvelle législature. Et cette démarche pourrait aussi montrer son utilité et son efficacité sur d’autres enjeux prioritaires aux yeux des Français, l’école, le pouvoir d’achat, le bien-vieillir, la sécurité, et sans doute bien d’autres sujets, l’important étant de viser à améliorer concrètement la vie de nos concitoyens. Même dans un contexte complexe, il est possible d’avancer et de légiférer, pourvu que les chantiers soient clairement partagés, définis en fonction des engagements de la coalition arrivée en tête. Rien n’est, ni ne sera facile : bâtir des compromis implique de prendre le temps nécessaire, de respecter chacun dans son identité politique, et de considérer que seul compte le progrès réalisé, quand bien même il ne reprend pas, par construction, 100 % des idées de chacun !Le travail transpartisan n’a pas vocation à éteindre les sujets de débat qui traversent le pays, a fortiori dans une Assemblée morcelée. Il met simplement en valeur les voies de passage, là où les enfermements politiques et les postures empêchent toute solution.

Car dans cette nouvelle Assemblée, tout doit être fait pour éviter les blocages et les 49-3 à répétition. Tout doit être fait pour apaiser le pays et réparer les fractures qui le minent.

En définitive, et au-delà de l’apparence d’une Assemblée nationale « paralysée », le transpartisan fait de l’absence de majorité absolue une force pour le Parlement, qui redevient la chambre d’écho des attentes du pays, et le lieu de la délibération transparente et des arbitrages consentis pour trouver, avec le gouvernement, les équilibres qui peuvent rassembler.

Construire des ponts plutôt que des murs : c’est cette pratique originale des débats et de la décision publique qui remet le Pacte républicain au cœur des enjeux. Lorsque l’essentiel est en question, lorsque l’urgence met la démocratie représentative face à ses responsabilités, le travail transpartisan est une des plus belles réponses républicaines".

https://www.la-croix.com/a-vif/guillaume-garot-depute-le-travail-transpartisan-peut-eviter-les-blocages-20240718

Toute candidature PS à Matignon n’étant pas celle d’un parlementaire ou d’un élu exécutif d’une grande collectivité locale, département, région ou ville, aurait été fantaisiste.

Olivier Faure et Jean-Marc Germain soutiennent implicitement Xavier Bertrand, président Ensemble de la région Hauts-de-France : c’est sage, l’organisation de la coalition Ensemble-NFP doit avancer.

On n’imagine pas que Jean-Marc Germain ne se déclare pas disponible pour assumer la fonction de Premier ministre sans motif sérieux : le Parti Socialiste serait discrédité aux yeux des Français.

Il y a certainement eu un accord tacite de Frédéric Valletoux et Olivier Faure, autour de l’installation de Xavier Bertrand à Matignon, dans le cadre de la préparation du gouvernement de coalition Ensemble-NFP.

Ce n’est qu’une étape de toute façon, ou plutôt un prologue, comme on dit au début du Tour de France : les Pyrénées et les Alpes sont très loin d’être en vue, au point où nous en sommes.

Xavier Bertrand ? Allons-y.

Xavier Bertrand se propose d’être Premier ministre, à droite (72%).

https://www.lefigaro.fr/politique/xavier-bertrand-a-matignon-je-suis-pret-a-relever-le-defi-20240806

A gauche (28%), nous aurions bien Jean-Marc Germain comme candidat crédible, mais cela fait longtemps que l’élu récent au Parlement européen n’a pas travaillé, malgré une action ponctuelle en 2022 sur la restructuration de l’Internationale Socialiste.

https://www.parti-socialiste.fr/resolution_du_conseil_national_du_8_novembre_2022_sur_l_internationale_socialiste

Attention à ne pas avoir une image de bras cassés au PS.

Tout se passe, au 1/8, comme si Frédéric Valletoux et Olivier Faure n’avaient identifié que le nom de Xavier Bertrand, comme potentiel Premier ministre de la coalition Ensemble-NFP.

Il est temps que Jean-Marc Germain s’engage davantage, à gauche, sauf à vouloir dérouler un tapis rouge au centre droit.

Olivier Faure pourrait y aller aussi. Patrick Kanner est un outsider possible, François Bonneau, président de la région Centre, aussi.

Martine Aubry, âgée de 73 ans, maire de Lille, n’est pas candidate. Boris Vallaud est sociable, mais il n’a pas la culture générale qui est requise. Dominique Potier, rayonnant chrétien de gauche, dit ne pas vouloir y aller, dont acte. François Hollande a démontré pendant des années qu’il n’est pas préparé aux défis nationaux et internationaux, c’est le moins qu’on puisse dire. Bernard Cazeneuve, trop dépendant de François Hollande, a renoncé. Lucie Castets est une militante des services publics, un terrain économique sur lequel la droite et son idéologie hors-sol de la concurrence est dépassée par les événements, mais elle n’a pas d’expérience. Laurent Berger, nom suggéré par Raphaël Glucksmann, n’ira pas. Jean-Luc Gleyze, président du conseil départemental de Gironde, Stéphane Troussel, président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis, sont des relais importants du Parti Socialiste.

Les risques systémiques existent, “la politique est sérieuse” (Keir Starmer), l’heure n’est plus au dilettantisme facile, sinon, il ne fallait pas procéder aux désistements tripartites PS, PC/LFI, Ensemble/verts du 7/7.

Encore une fois, Jean-Marc Germain doit se mettre au travail, sinon, qu’il jette l’éponge et ce sera Xavier Bertrand. Cela paraît logique, la droite est à 72% et la gauche à 28%, mais nous détenons des informations stratégiques à gauche, de sorte qu’il apparaît inévitable que le PS soit moteur, actif dans la coalition Ensemble-NFP. Nos concitoyens sont très peu politisés, autrement dit, préparés à la connaissance des fondamentaux de l’Etat de droit, mais tout de même, la fuite des responsabilités par le PS, en mode Ponce-Pilate, serait payée très cher.

Ce n’est pas le tout d’avoir gagné le 7/7 : il est essentiel que Frédéric Valletoux et Olivier Faure avancent dans la préparation de la coalition gouvernementale Ensemble-NFP, pendant la belle fête des Jeux Olympiques.

https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/07/29/pascal-canfin-pour-batir-une-coalition-il-faut-creer-des-ponts-et-non-eriger-des-murs-avec-le-nfp_6260770_823448.html

La procrastination est hors de question.

https://www.usinenouvelle.com/editorial/sans-majorite-claire-les-defis-economiques-demeurent.N2215541

La préparation de la coalition Ensemble-NFP est souhaitée par les militants socialistes.

La logique des désistements tripartites Ensemble, PS et PC/LFI/Verts du 7/7 ne laisse pas d’autre choix et cohérent soutenable que cet engagement responsable.

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/le-ps-se-divise-sur-le-nouveau-front-populaire-2110512

Le Premier socialiste peut être socialiste, ou pas : c’est secondaire, l’essentiel est le principe même de la coalition Ensemble-NFP.

Le PS se portera garant de LFI, dont l’impréparation aux défis nationaux et internationaux des sciences morales et politiques est complète, sans que cela soit différent dans les dossiers de l’environnement économique et social.

Selon Lucie Castets, dont les prises de parole n’engagent pas le PS, une coalition Ensemble-NFP est impossible en raison de “désaccords profonds”.

Soyons un peu conséquents, il ne fallait pas se désister alors le 7/7!

Approfondissons les études oui. Saurait-elle donner des exemples précis de difficultés insurmontables ?

“Nous avons une immense responsabilité”.

Mme Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale

https://www.youtube.com/watch?v=RRMGZaKvuD8

Laurence Tubiana commence à annoncer un programme, avant que l’accord du gouvernement coalisé Ensemble-NFP soit consolidé entre Frédéric Valletoux et Olivier Faure !

Elle met la charrue avant les bœufs.

Il faudrait rechercher une personnalité plus patiente pour Matignon.

Frédéric Valletoux et Olivier Faure orchestrent la préparation du gouvernement de coalition Ensemble-NFP, en Seine-et-Marne. Ils s’occupent de tout, c’est très bien ainsi.

https://www.seine-et-marne.gouv.fr/Services-de-l-Etat/Presentation-de-la-Seine-et-Marne/Les-elus-et-parlementaires-de-Seine-et-Marne/Les-parlementaires-de-Seine-et-Marne

Nombre de camarades du Parti Socialiste s’inquiètent de voir l’effectif du groupe LFI fondre comme neige au soleil, jour après jour : on n’y compte plus les départs.

Pour l’instant, ce n’est qu’un mouvement de vases communicants vers les verts, l’effectif NFP reste inchangé, restons sereins.

Il est bon qu’Olivier Faure et Frédéric Valletoux commencent les discussions sur l’organisation du gouvernement de coalition Ensemble-NFP.

Laurence Tubiana ne pourra pas tout faire à Matignon, loin s’en faut.

Il semble que Frédéric Valletoux, conseiller régional d’Ile-de-France, ancien maire de Fontainebleau (Seine-et-Marne, comme Savigny-le-Temple, la circonscription d’Olivier Faure), impulse aujourd’hui la ligne directrice des négociations à Ensemble.

Frédéric Valletoux est proche d’Edouard Philippe.

https://www.francetvinfo.fr/politique/legislatives-2024-frederic-valletoux-pret-a-travailler-pourquoi-pas-avec-le-ps-et-pourquoi-pas-avec-lr_6670068.html

La fête des Jeux Olympiques d’abord, mais avançons quand même, dans les coulisses, dans la mise en place du gouvernement de coalition avant fin août.

Concernant la préparation de l’incontournable gouvernement de coalition Ensemble-NFP, il faut bien dire que le leadership d’Olivier Faure est indiscutable, côté NFP, au-delà des multiples contradictions internes, mais c’est moins net, côté Ensemble.

S’il fallait jouer au quinté, ou même donner six noms, je donnerais, dans l’ordre, Emmanuel Macron, Edouard Philippe, Gérald Darmanin, François Bayrou, Gabriel Attal (encore très jeune), Laurent Wauquiez.

Cela dit, c’est à eux d’annoncer qui est l’interlocuteur d’Olivier Faure.

C’est cela, aussi, la clarification.

«Les Français attendent qu’on agisse en dépassant les clivages. Ce que les Français ont fait dans leur vote, on doit le faire au Parlement. La volonté est requise de travailler avec des personnes issues de la droite républicaine et de la gauche sociale démocrate».

Gabriel Attal, “ancien” (à l’âge de 35 ans) Premier ministre

Nous sommes embarqués, de toute façon, après les désistements du 7/7, le double “refus d’obstacle” (Gabriel Attal) de LRN et de LFI.

Ensuite, il va falloir se mettre bien d’accord sur le fond de la quarantaine de réformes législatives ou de réorientations à mener, thème par thème : nationalité, laïcité, institutions, famille, école, politiques économiques sectorielles, relations internationales.

Ce n’est pas le tout de gagner les élections : les responsabilités sont à assumer.

« Il faut travailler sur les axes programmatiques autour de la préservation des acquis économiques, l’accent sur une réponse régalienne forte, des mesures en faveur de la justice sociale. J’ai défini les règles face à une absence de majorité. Les désistements républicains qui ont marqué le second tour des élections législatives doivent conduire à un rassemblement ».

M. Emmanuel Macron, président de la République

Il n’existe aucune alternative responsable à la coalition Ensemble-NFP.

Fabien Roussel, président du PC, constate que sa filiale LFI préfère rester dans le confort de l’opposition irresponsable.

https://www.leparisien.fr/politique/legislatives-la-france-insoumise-veut-elle-trouver-un-pretexte-pour-rester-dans-lopposition-interroge-fabien-roussel-16-07-2024-KY2LZWTUXVA2HGMWTWBM3BPIWE.php

Avançons vers la mise en place rapide du gouvernement Ensemble-NFP, avec ou sans LFI, qui n’est pas à niveau évidemment, comme LRN.

Les Français qui ont voté majoritairement LRN et LFI au premier tour de l’élection présidentielle 2022 voient leurs nullités : ils peuvent remercier les autres, qui les protègent, en assurant la continuité des opérations.

LRN et LFI craquent, dès que le vent se lève : c’est “la clarification” (le président).

Gérald Darmanin et Olivier Faure continuent le travail.

“LFI est mis en minorité par la majorité des députés NFP”

Olivier Faure

(et la majorité écrasante des Français)

LFI soupçonne le PS d’être manipulé par François Hollande, ancien président de la République.

https://www.lefigaro.fr/elections/legislatives/le-hollandisme-c-est-comme-les-punaises-de-lit-sophia-chikirou-tacle-l-hypothese-laurence-tubiana-a-matignon-20240716

“Le PS c’est ma vie” (François Hollande) : on l’accueille, mais on n’oublie pas qu’il a fait s’effondrer le Parti Socialiste, par son inculture déloyale qui a mis la Syrie à feu et à sang, tout en abîmant davantage un droit familial qui était déjà en triste état en France avant son arrivée à l’Elysée.

Le député de Tulle en Corrèze n’a pas le niveau requis pour aider sérieusement à relever les multiples défis nationaux et internationaux. C’est terminé.

Depuis 2018, Olivier Faure et Jean-Marc Germain, voire Anne Hidalgo et Martine Aubry en deuxième ligne, comme Dominique Potier et Stéphane Troussel ou Jean-Luc Gleyze, entre autres, assurent la continuité du Parti Socialiste trahi.

https://www.liberation.fr/debats/2016/12/14/les-impasses-occidentales-en-syrie_1535167/

Les wokistes et les musulmans communautaristes (les musulmans œcuméniques sont ailleurs), qui font le mariage de la carpe et du lapin, semblent imaginer qu’ils ont la crédibilité requise pour faire la pluie et le beau temps, avec moins de 10% des suffrages aux élections européennes de juin 2024.

LFI semble tentée par un virage à 180°, après les désistements réciproques d’Ensemble et NFP du 7/7.

Une telle attitude incohérente et imprévisible est irresponsable. Elle ressemble à “un refus d’obstacle”, comme dit le Premier ministre Gabriel Attal sur LRN.

https://www.challenges.fr/politique/bompard-lfi-juge-la-proposition-de-laurence-tubiana-pour-matignon-pas-serieuse_899651

Commençons à sortir la calculette. Si LFI change ainsi d’avis et veut rejoindre LRN dans l’opposition, celle-ci aura 143 + 78 = 221 sièges.