La France, comme l'Europe ou l'Occident nord-atlantique, ont le devoir de faciliter le développement de l'Asie du Sud-Ouest et de l'Afrique. En Asie du Sud-Ouest, le quinquennat Hollande s'est discrédité et fracassé en Syrie, dans une ignorance terrifiante des réalités spirituelles et politiques de l'Orient, d'où une perte d'influence absurde de la France, y compris en Afrique indirectement, pendant que la Russie veillait à l'apaisement et au dialogue interreligieux. Soyons vigilants, en particulier, sur l'évolution de la situation dans la région irakienne https://fr.aleteia.org/2023/07/19/irak-les-etats-unis-denoncent-le-harcelement-dont-est-victime-mgr-sako/.
Et il est temps d'actualiser la gouvernance de l'Afrique qui est très désorganisée, où la moitié des enfants n'ont pas d'état-civil. Plutôt que de partir dans tous les sens, œuvrons à des regroupements des trop nombreux pays africains : appuyons-nous sur Le Caire, Alger, Dakar, Abidjan, Abuja, Yaoundé, Kinshasa, Addis-Abeba, Nairobi, Tananarive, Pretoria.
Saluons enfin la formidable culture d'accueil et d'intégration de la région de l'Ile-de-France, dans le cadre de la globalisation œcuménique et multilatérale du troisième millénaire, où sa mission est centrale et capitale.
Tel est le cap.
