Eternelle amitié franco-russe

L'histoire se répète : l'Occident s'abstient sagement d'envahir l'Orient.

Barack Obama ne voulait pas attaquer Damas en 2013, malgré les exhortations de François Hollande, qui ne voyait pas d'objection à semer la terreur en Mésopotamie.

De même, en 2024, année olympique à Paris, "il n'y a pas de consensus occidental assumé" (Emmanuel Macron), et c'est le moins qu'on puisse dire, pour mettre aveuglément le continent russe à feu et à sang, puisque l'effort constructif d'une définition juridique et crédible de la frontière intercontinentale entre l'Occident et le continent russe s'impose d'abord, à un niveau de bon sens paysan et de loyauté.

Souvenons-nous que la Russie a protégé souvent la France dans l'histoire longue, pas seulement lors de la libération d'Alep en décembre 2016 : un peu de gratitude et d'esprit de responsabilité ne nuit pas.

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