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Ma future contribution générale pour le prochain congrès

Bonjour je suis peut-être très en avance mais je vous dévoile quelques citations de mon texte afin de pouvoir vous attirer l'attention. Ce texte n'a pas vocation à me faire devenir élue interne au PS je veux juste faire promouvoir un nouveau rôle du PS en France en guise de gain énorme de nouveaux électeurs et adhérents : 1 . Nous sommes dans un pays qui a créé le principe de république démocratique. Et pourtant, en 2023, notre président ne veut pas écouter son peuple et se vante d'écouter à l'inverse les grandes fortunes américaines. Il y a si peu de citoyens, sans abris, enfants, réfugiés et habitants en France qui puissent trouver un équilibre de vie via les aides sociales. Petite chose, la France est créatrice de la sécurité sociale, de beaucoup d'allocations... et seule une partie de nos habitants sous un toit ou pas sont délaissés dans leur cauchemars quotidien. Pour ce qui est de la santé, des frais d'énergie, des études, et de la situation professionnelle. 2. Pour que la France arrête de cataloguer les travailleurs entre « les plus infirmes et les milliardaires ». Le handicap ne doit pas être une excuse d’absence de salaire même de SMIC. Et abordons les structures humiliantes chez les travailleurs ayant une mauvaise santé. Les ESAT ne sont pas là pour pousser à bout les travailleurs. Là-bas, les travailleurs ne sont pas salariés donc ils sont interdits de parler via un seul syndicat. 3. Car si nous ne donnons aucune éducation à l’écologie même si nous faisons un plan léger niveau scolaire sur les geste et les luttes à avoir pour la planète chez les plus jeunes, alors malheureusement « Nos enfants nous accuseront », le nom du film de juillet 2009. Et à l’avenir, si l’école ne change rien à tout ça, en 2040 les espèces toutes sortes vont rapidement disparaitre. 4. Il est tellement malheureux de voir des jeunes quitter le milieu scolaire alors que ceux-ci n'ont même pas un CAP/BEP ou baccalauréat. Nous devons tous réagir à ce manque crucial de connaissances. Surtout qu'entre les arrêts d'études avant la fin du secondaire et les BAC + 10. L'écart de réussite nous amène à un manque de solidarité et même que la violence augmente entre les français. Alors déjà, il faut rendre obligatoire l'école de la petite section jusqu'à la fin de la formation dans le secondaire, sachant que les examens pour passer en études supérieures doivent obligatoirement être obtenus pour sortir des études. 5.. Et pour le PS national, je propose un groupe « Elles militent pour tous les français ! » car ce sera un groupe uniquement féminin qui optera sur la préventions sur les violences faites aux femmes, elles pourront promouvoir toutes sortes d’idées politiques et mener de très belles actions en France.

"Arménie, se ressaisir" (Raphaël Glucksmann)

Aide inefficace à Al-Qaida ("ils font du bon boulot") en Syrie, contre Bachar El-Assad appuyé par les chrétiens d'Orient et Beyrouth, puis soutien hasardeux aux séparatistes ukrainiens sans définition préalable des frontières extérieures du continent occidental et du continent russe ("dialoguons plutôt" Nicolas Sarkozy, le président brésilien Lula), et maintenant, indifférence à l'épuration ethnique commise au Haut-Karabagh : depuis 2010, la diplomatie française, passablement égarée, a décroché, à l'instar de Sciences Po et l'ENA, comme si la parole de la France n'était pas essentielle pour le monde.

Deux députés européens, Raphaël Glucksmann et François-Xavier Bellamy, sauvent l'honneur des élus, des militants et des citoyens, dont on mettra le silence sinistre sur le compte de l'impréparation et non de la lâcheté, par bienveillance ("les Français sont des veaux" Charles de Gaulle, septembre 1940).

Que faire maintenant pour le Caucase balkanisé, dans le sud du continent russe ?

D'abord, prendre acte de l'exil au Haut-Karabagh : les enclaves sont ingérables.

Ensuite, affirmer que le maintien d'une frontière physique entre l'Arménie et l'Iran n'est pas négociable, pour de multiples raisons morales (https://www.tresorsdumonde.fr/monastere-de-jolfa/ ), politiques et militaires, qu'on ne détaillera pas ici, sans oublier que c'est l'intérêt supérieur de la Turquie, qui aura besoin des chrétiens arméniens rescapés d'Istanbul pour évoluer, s'ouvrir et non pas s'isoler davantage.

Enfin, préparer le rattachement de l'enclave du Nakhitchevan https://fr.wikipedia.org/wiki/Nakhitchevan non plus à l'Azerbaïdjan, c'est terminé, mais à la Turquie, de même que Gaza ira à l'Egypte, tôt ou tard.

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/haut-karabakh-erdogan-au-nakhitchevan-enclave-azerba%C3%AFdjanaise/ar-AA1he0Hc

Vers un dialogue approfondi et responsable dans le continent russe

Le quotidien La Croix rapporte comment le sociologue Denis Volkov, qui dirige l’institut de sondages indépendant Levada à Moscou, analyse l’attitude des Russes face aux séparatismes dans le continent russe depuis 1992.

" Le pourcentage de Russes estimant que la Russie va dans la bonne direction dépasse aujourd’hui les 65 %. Les sondages révèlent une hausse de confiance, politique et économique, à l’égard du Kremlin. 75 % répondent qu’il faut continuer à soutenir les soldats sur le front. 75 % des Russes se disent aussi en accord avec la proposition selon laquelle « l’Occident veut détruire et affaiblir la Russie".

Les ultranationalistes qui critiquent le Kremlin pour son manque de fermeté représentent moins de 10 % de la société russe. Les patriotes qui veulent occuper l’Ukraine jusqu’à Kiev et refusent tout arrêt des combats représentent sans doute entre 20 et 25 % des Russes. Parmi eux, les supporteurs du président Vladimir Poutine restent majoritaires car, à leurs yeux, le président incarne la Russie forte qu’ils aiment.

En même temps, plus de la moitié des sondés se disent en faveur de pourparlers même si, au final, ils soutiennent Vladimir Poutine".

Denis Volkov

https://www.la-croix.com/international/Guerre-Ukraine-moitie-Russes-disent-faveur-pourparlers-avec-lUkraine-2023-09-17-1201283087

Saluons ce bon esprit après la vague précipitée des séparatismes baltes, caucasiens, moldaves et ukrainiens de 1992 : il convient en effet que toutes les parties prennent le temps d'un dialogue approfondi et responsable, autour de Moscou, dans le continent russe.

La France indifférente à la déréglementation européenne

Un bon article du quotidien La Croix le 25/8/2023 introduit les orientations du nouveau texte DSA (Digital Services Act) dont Thierry Breton, au moins, est satisfait.

https://www.la-croix.com/Economie/En-Europe-internautes-mieux-armes-face-plateformes-2023-08-25-1201280045

https://www.lefigaro.fr/conjoncture/thierry-breton-la-nouvelle-loi-europeenne-sur-le-numerique-signe-la-fin-d-une-ere-de-non-droit-20230825

Extraits :

Les dix-sept plus grandes plateformes en ligne (Facebook, YouTube, Amazon store, Appstore, Wikipedia, Zalando…) et les deux plus gros moteurs de recherche (Google search et Bing) ont l’obligation désormais de démontrer l’interdiction de la publicité ciblée en direction des mineurs ou de celle basée sur l’exploitation de données sensibles. C’est l’une des mesures phare du nouveau règlement européen sur les services numériques (Digital Services Act) qui entre en vigueur ce vendredi 25 août 2023. À eux de prouver leur bonne conduite en mettant en place des outils de contrôle pour détecter des contenus illicites et faciliter un signalement par les internautes. À défaut, l’exécutif européen pourra prendre des sanctions allant jusqu’à 6 % du chiffre d’affaires des entreprises concernées. En cas de multi-récidive, il pourra ordonner leur interdiction sur le marché européen. La Commission européenne aura-t-elle suffisamment d’autorité pour se faire respecter par ces géants de l’Internet, habitués à imposer leurs propres règles ? Sa mise en œuvre suppose « des moyens adéquats », souligne l’économiste Joëlle Toledano. Il faudra pouvoir faire face aux services juridiques bien dotés des plateformes. La Commission européenne est comme une « citadelle assiégée », insiste Jean Cattan, secrétaire général du Conseil national du numérique, en France. « Premier signe positif, souligne-t-il, la plupart des plateformes jouent les bons élèves. » Déjà, les usagers européens de Facebook et d’Instagram ont accès à des contenus qui ne sont plus issus d’une sélection automatique, déterminée par algorithme selon des intérêts présumés. « La logique de collaboration entre pouvoirs publics et réseaux sociaux me semble appelée à se développer : les plateformes elles-mêmes ont intérêt à assainir les réseaux », estimait récemment dans un entretien à La Croix Florence G’Sell, titulaire de la chaire « digital, gouvernance et souveraineté » à Sciences Po Paris.

Est-ce le début d’une régulation d’ampleur ? « On est plutôt au degré zéro. On sort de vingt-cinq ans d’autorégulation des acteurs de l’Internet. Ce n’est encore que le début», estime Jean Cattan.

Derrière ces annonces minuscules (99% des revenus de Facebook viennent de la publicité et nullement du metaverse, pour l'anecdote), il y a un contexte chaotique où la haine en ligne, la prédation sexuelle anonymes, les cyber-attaques des sites des hôpitaux, les risques de pannes des appels d'urgence et autres font des ravages, sans qu'aucun opérateur puisse en endosser la responsabilité et moderniser l'architecture, la signalisation du réseau, la normalisation, le schéma industriel, du fait de la déréglementation balkanisée et anarchique.

Il est bon que le CNR-Numérique, un des sept CNR (référentiel des branches professionnelles, écologie, école, santé, numérique, logement, social) se mette au travail, en cette rentrée 2023-2024 : les conventions socialistes ne peuvent pas tout faire, sur le terrain de la démocratie participative effective, sans laquelle, au bout d'un certain temps, le totalitarisme supplanterait inévitablement la démocratie.

https://www.lemonde.fr/podcasts/article/2023/04/18/les-enfants-perdus-du-viol-en-streaming_6169948_5463015.html

Vers un vrai parti socialiste et écologique européen

L'actuelle organisation européenne reste très éloignée des peuples. Elle est perçue comme un organisme abstrait qui sert de repoussoir pour les décisions perçues comme négatives et de faire valoir pour les propositions et subventions obtenues. Cet éloignement issu du modèle de construction (en cours) permet difficilement l'appropriation de l'idée européenne. La structure inter-Etats actuelle est éloignée des populations et l'information donnée fait l'impasse sur les oppositions et les rapports de force politiques existants au sein des instances de décisions. La complexité des circuits de décision et le brouillage qui résulte de l'amalgame entre les grandes orientations votées et les directives régissant jusqu'aux dimensions de certains produits européens masquent la réalité et l'importance de l'Europe. Partisan d'une Europe forte par son fonctionnement réellement démocratique, forte par sa prise en considération par les populations , je suis partisan d'une Europe fédérale dont les compétences seraient définies et totalement déléguées. Je propose que le PS réfléchisse et agisse pour discuter avec ses homologues européens de la création d'un vrai Parti socialiste et écologique européen. Plutôt qu'un PSE fonctionnant comme une structure au 2ème degré constituée de représentants cooptés par chacun des partis membres, la cohérence et le reflet de ce que souhaitent les militants et adhérents de ces partis seraient démocratiquement mieux pris en compte par un parti de plein exercice fonctionnant sur le modèle de notre actuel parti socialiste avec des congrès et des votes des militants sur la base de propositions et de listes transnationales. Des modalités de double appartenance (parti national - PSE) devraient être mises en place, des adhésions directes devraient être admises.