Les pilotes de la convention

Participez à la visioconférence de lancement de la convention mercredi 19 avril à 20H

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En vrac

Bonjour J’ai apprécié l’intervention de Laurent Baunel et il m’a peut-être incité à prendre la plume. Les classes populaires, la classe populaire je la définis ainsi : Il y a ceux qui le 15 du mois savent qu’ils n’arriveront pas au 30 et ceux qui se demandent comment ils vont arriver au 30. La question est que pouvons nous faire ? A-D’abord en cessant de charger le bât. Retraite à 65 ans : déclarer haut et fort que nous reviendrons sur cette mesure B- Où comment ne pas transformer de bonnes idées en catastrophe sociale 1-Suspendre les Zones de Faibles Émissions qui sont devenues des Zones de Fortes Exclusions. Comment transformer une bonne idée à laquelle nous pourrions tous adhérer en punition pour les plus démunis L’exclusion de circulation doit concerner tous les véhicules sauf les résidents et les entreprises amenées à travailler. 2- Depuis 30 ans, la construction de logements en France est insuffisante et au lieu d’investir dans le logement on aggrave le problème. On va exclure massivement un nombre important d’appartements du marché locatif. (au détriment de ceux nombreux déjà qui ne trouvent pas de logements) Mon ami coiffeur retraité a un logement qu’il loue Comment va-t-il le rénover? Trop âgé les banques refusent tout prêt!! Proposition Que l’Etat investisse massivement dans le parc locatif par l’intermédiaire des organismes de location. Ensuite aider les enfants 41% des enfants vivant dans une famille mono-parentale vit sous le seuil de pauvreté (INSEE 2018) Il faut aider nos enfants Rétablir l’impôt sur la fortune et flécher cet argent vers ces enfants Avoir des politiques d’aides aux familles plus ambitieuses Aujourd’hui, l’impôt sur les gros héritages plus d’un million d’euros est très bas un prélèvement supplémentaire de 0,5% entre 1 et 10 millions d’euros et 1% au delà pour financer les politiques en faveur des enfants pauvres ne semble pas irréaliste Je voulais aussi parler du rattrapage des salaires et plus particulièrement de celui des fonctionnaires des infirmières il faut mettre en place un rattrapage échelonné sur plusieurs années avec une base de référence claire mais je crains d’être déjà trop long Amitiés Socialistes François Rinaldi [email protected]

Placer l'individu au coeur de la démocratie

Aujourd'hui de nombreux citoyens ne sont pas inscrits dans un parti. Cela signifie que de nombreuses personnes ne sont pas sensibles aux différences entre les partis. La plupart de nos compatriotes jugent sévèrement la classe politique dans son ensemble, l'Assemblée et le gouvernement. Selon ce que l'on entend si on tend l'oreille, le gouvernement et nos députés sont très éloignés de nos préoccupations et gouvernent seuls. Que l'avis de la population ne compte pas. Et quand on regarde le triste spectacle de l'assemblée, où les 49.3 s'enchaînent sans que les députés des partis d'opposition pourtant supérieurs en nombre face aux députés de la faction gouvernementale, n'arrivent pas à voter la moindre motion de censure ou même à faire entendre leur voix, il y a de quoi penser en effet que les partis sont plus occuppés à se faire la guerre qu'à oeuvrer en commun dans l'intérêt général de la population. Par conséquent, puisque le gouvernement a le champ parfaitement libre pour passer n'importequelle réforme sans que l'opposition majoritaire s'oppose, et ne veut pas demander son avis à la représentation nationale, il devrait donc demander son avis à une entité supérieure à toute représentation, la nation elle même. Par un référendum, dont le résultat fait force de loi. Le 49.3 doit être remplacé par un référendum, de façon à ce que lors de la présentation d'un projet de texte, le gouvernement ait le choix entre demander son avis au parlement ou bien à ceux qui l'ont constitué en votant, c'est à dire le peuple souverain. Cela revitaliserait la démocratie tout en sacrant de nouveau les grands principes républicains, notamment ceux de la 5e République telle qu'imaginée par DeGaulle, en permettant de redonner confiance aux citoyens qui, en participant davantage se sentiraient plus concernés et investis. Cela donnerait plus de sens au mot citoyen, et donnerait une vraie dynamique au pays.

Osez la rupture, promouvoir l'utopie

Il faut oser revenir à l'utopie, une nouvelle utopie loin de Charles Fournier mais qui reste dans l'adn du socialisme français. L'utopie est le lieu de la critique du présent et n'est pas réservée à l'élite intellectuelle. C'est un puissant moteur de transformation social, le seul a meme de rompre avec l'ideologie sociale démocrate qui a force de renoncement en a oublié même le but de son existence pour ne devenir que l'alibi moral de la persistance des inégalités sociales inhérentes au capitalisme.C'est en assurant la défense de l'équité et en prônant l'utopie qu'on restaurera la confiance du peuple en notre parti. Il faut faire le paris de l'intelligence collective et ne pas se contenter de pre maché et de quelques tweets. Il faut informer pour éduquer, éduquer pour convaincre et lutter contre l'absurdité d'un système capitaliste que nous reconnaissons tous (y compris a l'extrême droite). Bien évidemment il ne faut pas uniquement théoriser il faut prôner des mesures symboliques , en voici par exemple 2 que je vous soumets: # Reconsidérer la démocratie représentative par un vote de fin de mandat. Chaque élu ayant exercé un mandat exécutif ne pourrait se représenter qu'après avoir obtenu les suffrages des ses électeurs. Autrement dit à la fin de son mandat il devrait être soumis à un vote pour savoir si il a respecter ses obligations representatives, il ne pourrait se représenter que si ses électeurs ont repondu majoritairement oui. #Redefinir le périmètre de la nation: Il me semble qu'à force d'entendre et de voir revenir d'année en année le débat sur l'identité nationale il est temps de porter le débat sur le theme de la nation, mais non pas dans un debat restreint a la vision traditionnelle et fortement réactionnaire de la notion de nation, mais bien pour faire comprendre à l'ensemble de nos citoyens la portée exacte de la notion d'Etat nation. De plus ce terme si souvent utilisé dans jamais être explicité devrait etre au centre de la définition d'une politique européenne mais est sans cesse éludé pour ne pas faire apparaitre d'inexorables lignes de fractures idéologiques. L'utopie fédéraliste européenne est il toujours au centre du projet socialiste moderne ? Auquel cas il s'agit bien de bousculée l' idée de le nation, et qu'il s'agit peut être là un des éléments les plus différenciant au sein des partis de gauche.

Retrouvons le peuple ! certes, mais comment ?

Je suis convaincu que le Parti socialiste doit renouer avec les classes populaires pour remplir son rôle premier de défendre celles et ceux qui n’ont que leur travail pour vivre. Les travailleurs et travailleuses, les chômeurs et chômeuses, les jeunes précaires et les retraités modestes sont les électeurs et électrices naturels du Parti socialiste, mais depuis quelques années, nous avons perdu leur confiance.

Pour renouer avec les classes populaires, il est essentiel que le Parti socialiste fasse preuve d'écoute, d'empathie et de solidarité. Nous devons être à l'écoute des préoccupations et des aspirations des travailleurs et travailleuses, comprendre leurs difficultés et leurs souffrances, et proposer des solutions concrètes et efficaces pour améliorer leur vie quotidienne.

Le Parti socialiste doit également faire preuve d'empathie envers les personnes les plus fragiles de notre société. Les travailleurs précaires, les chômeurs de longue durée, les jeunes sans emploi et les retraités modestes ont besoin de notre soutien et de notre solidarité. Nous devons être à leurs côtés, les aider à se défendre, à se regrouper et à s'organiser pour faire valoir leurs droits et revendications.

Ainsi, pour renouer avec les classes populaires, le Parti socialiste doit se montrer à l'écoute, empathique et solidaire, tout en proposant des solutions concrètes et efficaces pour améliorer leur vie quotidienne. C'est un enjeu primordial pour le Parti socialiste, qui doit redevenir le parti des travailleurs et travailleuses, des chômeurs et chômeuses, des jeunes précaires et des retraités modestes. En agissant ainsi, nous pourrons redonner confiance aux classes populaires et construire ensemble un avenir plus juste et plus solidaire.

Pour cela voici quelques propositions concrètes en quelques points, en rappelant ce qu’est le Parti socialiste : Le Parti socialiste a été créé pour défendre les travailleurs et travailleuses, les chômeurs et chômeuses, les jeunes précaires et les retraités modestes. C'est un parti qui a été créé pour lutter contre les injustices sociales et pour défendre les droits des plus fragiles. Mais depuis quelques années, le Parti socialiste a perdu contact avec les classes populaires, qui se sentent abandonnées et trahies par les politiques menées.

Voici donc les moyens efficaces pour que le Parti socialiste renoue avec les classes populaires et remplisse à nouveau son rôle premier de défenseur des plus fragiles.

I. Comprendre les enjeux et les attentes des classes populaires :

Pour renouer avec les classes populaires, il est essentiel de comprendre leurs enjeux et leurs attentes. Les travailleurs et travailleuses, les chômeurs et chômeuses, les jeunes précaires et les retraités modestes ont des préoccupations différentes, mais ils ont tous en commun le besoin de vivre dignement de leur travail et de bénéficier d'une protection sociale solide.

Les travailleurs et travailleuses ont besoin d'emplois stables et bien rémunérés, d'une réduction du temps de travail, d'une meilleure protection contre les licenciements abusifs et d'une reconnaissance de leur contribution à l'économie.

Les chômeurs et chômeuses ont besoin d'un accès à la formation, à l'emploi et à une protection sociale suffisante pour vivre dignement.

Les jeunes précaires ont besoin d'un accès à l'emploi et à la formation, d'un soutien pour se loger et pour vivre de manière autonome.

Les retraités modestes ont besoin d'une revalorisation de leurs pensions, d'une meilleure prise en charge de leur santé et de leur dépendance, et d'une protection contre la pauvreté.

Comprendre ces enjeux et ces attentes est essentiel pour proposer des solutions adaptées et efficaces.

II. Être à l'écoute des classes populaires :

Pour renouer avec les classes populaires, le Parti socialiste doit être à l'écoute de leurs préoccupations et de leurs aspirations. Il doit aller à leur rencontre, organiser des débats et des discussions, et les impliquer dans l'élaboration de nos politiques.

Il doit également être présents sur le terrain, dans les quartiers populaires, les zones rurales et les villes moyennes. Il doit être à l'écoute des associations, des syndicats, des organisations de jeunesse et des collectifs citoyens qui se mobilisent pour défendre les droits des plus fragiles.

En étant à l'écoute des classes populaires, il pourra comprendre leurs besoins et leurs attentes, et proposer des solutions concrètes et efficaces.

III. Proposer des solutions concrètes et efficaces :

Pour renouer avec les classes populaires, le Parti socialiste doit proposer des solutions concrètes et efficaces pour améliorer leur vie quotidienne. Il doit par exemple défendre l'augmentation du SMIC, la réduction du temps de travail, la création d'emplois durables et de qualité, la protection des services publics, la mise en place d'un revenu de base et la lutte contre la pauvreté.

Il doit également proposer des solutions pour lutter contre les discriminations, pour favoriser l'accès à la formation, pour soutenir l'entrepreneuriat social et pour promouvoir la transition écologique.

Pour cela, il doit travailler en partenariat avec les acteurs locaux, les associations, les syndicats et les organisations de la société civile. Il doit être à l'écoute de leurs propositions et de leurs besoins, et travailler ensemble pour construire des solutions durables et efficaces.

IV. Revaloriser la démocratie participative :

Pour renouer avec les classes populaires, le Parti socialiste doit également revaloriser la démocratie participative. Il doit redonner aux citoyens et citoyennes le pouvoir de décider, de s'exprimer et de participer à la vie politique.

Il doit mettre en place des outils de consultation et de délibération, tels que les budgets participatifs, les jurys citoyens, les conseils de quartier, les conférences citoyennes et les consultations en ligne.

Il doit également favoriser la participation des jeunes, des femmes, des personnes issues de la diversité et des habitants des quartiers populaires. Il doit leur donner les moyens de s'exprimer, de proposer des solutions et de participer à la vie politique.

En renforçant la démocratie participative, il pourra redonner aux classes populaires le sentiment d'être écoutées et représentées.

Pour conclure, renouer avec les classes populaires est un enjeu primordial pour le Parti socialiste. Pour y parvenir, il doit comprendre leurs enjeux et leurs attentes, être à leur écoute, proposer des solutions concrètes et efficaces, et revaloriser la démocratie participative.

Il doit travailler en partenariat avec les acteurs locaux, les associations, les syndicats et les organisations de la société civile. Il doit être à l'écoute de leurs propositions et de leurs besoins, et travailler ensemble pour construire des solutions durables et efficaces.

En renouant avec les classes populaires, le Parti socialiste pourra retrouver sa raison d'être et défendre celles et ceux qui n'ont que leur travail pour vivre.

Français-s-es de l’étranger les oublié-e-s

Aide sociale, pension de vieillesse, assurance chômage, regroupement familial… A eux seuls, l’accès aux services publics représentaient plus de 85 % des plus de 125 000 réclamations faites à la Défenseuse des droits en 2022, selon le rapport annuel de l’institution publié ce lundi 17 avril. Le nombre de réclamations totales est en hausse de 9 % par rapport à 2021. Le problème : «leur déshumanisation», causé en partie par la dématérialisation progressive des démarches administratives. «Qu’on soit clair, la dématérialisation est une chance, cela permet à bon nombre de la population de faire ses démarches à toute heure, a nuancé ce lundi Claire Hédon lors d’une conférence de presse. Mais cela peut mettre en difficulté un certain nombre de personnes.» Selon un rapport ministériel du 7 avril, ce sont en effet plus de 16 millions de Français majeurs qui se trouvent «éloignés du numérique». Résultat, des démarches promises simples se révèlent impossibles pour certains usagers isolés, nombreux à contacter l’institution. «C’est une perte de droits des usagers», conclut gravement Claire Hédon. Les droits aux étrangers, première cause de saisine Cette dématérialisation, qui dessert particulièrement les plus précaires, touche aussi de plein fouet les étrangers. «Les réclamations relatives au droit des étrangers sont devenues le premier critère de saisine de l’institution», s’alarme ainsi la Défenseuse. Selon le rapport, le nombre de réclamations à ce sujet a augmenté de 233 % entre 2019 et 2022, et le phénomène ne cesse de croître. «Les réclamants n’arrivent pas à avoir des rendez-vous en préfecture. Ils sont en situation légale en France, ils demandent le renouvellement de leur carte de séjour et puisqu’ils n’arrivent pas à prendre leur rendez-vous, ils se retrouvent en situation illégale», s’indigne Claire Hédon. «Est-il normal qu’un usager doive saisir soit le juge des référés d’un tribunal administratif soit le Défenseur des droits pour un rendez-vous ? Ce système marche sur la tête, je n’ai pas vocation à devenir le Doctolib des rendez-vous en préfecture», alerte la Défenseuse des droits, qui dit craindre «l’embolie» de l’institution face au nombre de demandes. Autre sujet brûlant abordé, «la déontologie de la sécurité». Un terme bien jargonneux désignant le contrôle exercé par la Défenseuse des droits qui se veut indépendant et externe de toute personne exerçant une activité de sécurité (policier, gendarme, surveillant pénitentiaire, etc.). Les enquêtes de l’institution à un niveau individuel mais aussi hiérarchique ont permis ces dernières années de pointer du doigt «des privations de liberté arbitraires ou encore des dissimulations de visages des policiers contraires à la loi». Depuis le début des manifestations contre la réforme des retraites, au mois de janvier, ce n’est pas moins de 115 saisines qui ont été enregistrées, dont 90 % sur les trois dernières semaines, souligne le rapport. Une occasion aussi pour la Défenseuse des droits de rappeler «combien le respect de la liberté de manifester et de la liberté d’association doit absolument être respecté» : «Je m’inquiète franchement à cet égard d’un climat qui contribue à fragiliser l’édifice démocratique et le contrôle indépendant est toujours plus nécessaire même s’il fait l’objet d’attaque, ça ne nous a pas échappé.» La protection de l’enfance jugée «particulièrement inquiétante» Autre grand thème, les enfants, malheureusement «pas encore considérés comme des sujets de droit», déplore Claire Hédon. A ce sujet, le rapport exprime nombre de problèmes : des handicaps encore trop peu pris compte, une protection de l’enfance jugée «particulièrement inquiétante» – avec des réclamations sont en hausse de 20 % sur un an – ou encore la dégradation de la santé mentale des plus jeunes, une problématique qui concerne plus d’1,6 million d’enfants. https://www.defenseurdesdroits.fr/sites/default/files/atoms/files/ddd_rapport-annuel-2022_20230328.pdf?uniqueIdentifier=DD456EFD-DB5A-4394-9AA9-973FB15410C9

Mea culpa et nouveau départ

On entend beaucoup parler du vote des classes populaires, de l'abandon de la gauche au profit du Rassemblement National ou plus souvent du retrait des catégories populaires du processus électoral par l’abstention. Le milieu populaire est pourtant éminemment politisé ! Il suffit de se promener dans les cafés, les bistrots, les parcs et les terrains de foot, il suffit d'être invité à déjeuner ou diner, il suffit de fêter un anniversaire ou un mariage ou de naviguer sur les réseaux sociaux pour s'en rendre compte : la chose publique, le fonctionnement du pays et des collectivités intéressent tout le monde, toutes les classes sociales, à tous les ages. Les élèves en parlent avec leurs professeurs, les travailleurs en parlent à la pause déjeuner, les retraités en parlent à leur famille, et tout le monde a un avis. Il ne s'agit donc pas de les intéresser, l'enjeu est ailleurs. Vieux ou jeunes, issus de milieux aisés ou défavorisés, de nombreux français partagent une même amertume, et cette amertume se traduit par un ressentiment lourd, une non-réaction, une renonciation à agir. Je suis convaincu que la grande majorité des français est en désaccord profond avec la direction prise par notre société, que (presque) tous désirent plus de justice sociale et une réaction forte face à la crise écologique. Mais ils ne croient pas que le Parti Socialiste se bat pour ça. Depuis des dizaines d'années, la classe politique creuse un sillon entre elle et le monde réelle, et c'est à mon sens en 2012 que tout a basculé. François Hollande avait 60 engagements et prônait un changement fort. Sa politique, ses baisses d’impôts et de cotisations pour les entreprises, sa réforme du droit du travail ont marqué cette idée dans l'esprit des français : les dirigeants politiques ne tiennent pas leurs promesses, à gauche comme à droite. D'où le succès de la proposition de rupture d'Emmanuel Macron, du sentiment de franchise de La France Insoumise, de la proximité offerte par le Rassemblement National. Mais ceux-là n'ont, depuis, pas convaincu non plus. En France, presque plus personne ne croit qu'il soit possible de faire bouger les lignes. Pour retrouver le peuple, il faut retrouver sa confiance et, pour retrouver sa confiance, il faut agir avec sincérité, comme avec un ami proche : admettre ses erreurs, se demander comment on en est arrivé là, présenter des excuses sincères et, enfin, agir, car les actions ont plus d'impact que les mots.